Central Park
Le soleil de Central Park
Réchauffe les corps et les cœurs
Les familles se prélassent
Les enfants jouent dansent
Des couples s’enlacent
A l’ombre douce des érables
Sur l’herbe accueillante des prairies
Sous le soleil de Central Park
Les hommes revivent
Prennent le temps
De sentir le vent
De se parler de sourire
Dans les rues de Manhattan
A l’ombre profonde des gratte-ciel
Les hommes marchent vite
Seuls dans la foule mouvante
Tête baissée sur leur portable
Dans la touffeur des rues surpeuplées
Les bouches du métro avalent
Des foules anonymes innombrables
Pressées par le temps qui manque
Dans les rues de Manhattan
Les hommes survivent
Travaillent marchent travaillent encore
Rêvant espérant dimanche
Sous le soleil de Central Park